Jouer en L2, Jérôme Hergault n’en avait jamais vraiment rêvé avant d’en être privé avec Luzenac en 2014. Il en est pourtant, aujourd’hui, à 30 ans, au Red Star, une des valeurs sûres. C’est un joueur au tempérament profondément indépendant, plus que tout attaché à sa liberté, qui se préparait à revenir sur Toulouse ce dimanche pour le huitième tour de la coupe de France face à la DH du FC Blagnac. L’occasion de déterrer de vieux souvenirs et d’analyser son parcours autant qu’une approche du professionnalisme très personnelle. (par J.L.B.)
![L'entretien Footengo - Jérôme Hergault (Red Star FC) : « Deux ans... je n'avais jamais signé un contrat aussi long »]( "L'entretien Footengo - Jérôme Hergault (Red Star FC) : « Deux ans... je n'avais jamais signé un contrat aussi long »")
Jérôme, qu’est-ce que ça vous fait de revenir sur la région avec le Red Star ?
Je ne suis pas certain de jouer, j’ai pris un coup contre Orléans et comme nous sommes sur une période où on joue tous les trois jours, il y avait des chances que je fasse l’impasse, donc que je reste sur Paris pour m’entraîner. Mais si je viens, je retrouverais avec plaisir quelques anciens coéquipiers ou adversaires.
Vous aviez quitté la région parce que vous n’aviez pas pu monter en L2 avec Luzenac, vous y revenez avec le statut de joueur de L2, est-ce une revanche, une fierté ?
C’est une fierté. Par rapport à Luzenac, j’ai plus de regrets que d’aigreur car, pendant toutes ces saisons au LAP, on s’est vraiment tous éclatés sur ou en dehors des terrains avant de connaitre une fin catastrophique. Je regrette...
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Je ne suis pas certain de jouer, j’ai pris un coup contre Orléans et comme nous sommes sur une période où on joue tous les trois jours, il y avait des chances que je fasse l’impasse, donc que je reste sur Paris pour m’entraîner. Mais si je viens, je retrouverais avec plaisir quelques anciens coéquipiers ou adversaires.
Vous aviez quitté la région parce que vous n’aviez pas pu monter en L2 avec Luzenac, vous y revenez avec le statut de joueur de L2, est-ce une revanche, une fierté ?
C’est une fierté. Par rapport à Luzenac, j’ai plus de regrets que d’aigreur car, pendant toutes ces saisons au LAP, on s’est vraiment tous éclatés sur ou en dehors des terrains avant de connaitre une fin catastrophique. Je regrette...
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